FOOT ROCK AND ROUFLAQUETTES. Ignacio Prieto.


Le réfugié chilien qui profite de son transfert à Lille pour fuir la dictature de Pinochet. Ignacio Prieto ne marche pas dans les combines fascisantes, lui l'ouvrier du football au visage buriné par l'effort, rompu aux tâches défensives depuis le début de sa carrière. Laquelle prend un drôle de tournant quand il arrive dans le Nord. Le LOSC c'est pas le Pérou pour un Chilien qui parle français comme une vache espagnole. De ses vacances en Espagne d'ailleurs, il garde un très bon souvenir de ce petit groupe de Barcelone TOKYO SEX DESTRUCTION qui faisait valser les canettes dans ce club du quartier gothique. Du bon garage-rock'n'roll vintage à l'instar des vieilles rouflaquettes du joueur lillois considéré aujourd'hui comme une légende au club. Pas uniquement grâce à sa bonne tronche.





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